Les ressources du fonds de garantie des dépôts collectent 17,7 MMDH à fin juin

Bank_in_maroccoLa Société marocaine de gestion des fonds de garantie des dépôts bancaires (SGFG), intégré par la loi bancaire de 2014, revient sur scène après deux ans d’absence. Quelque mois auparavant, la SGFG a lancé une suite de démarche d’assemblement d’informations sur les déposants avec la participation de Bank Al-Maghrib.

Au fur et à mesure d’instaurer une base de données sur les déposants, dont la société a besoin pour la bonne exécution de sa mission d’indemnisation, cette dernière tire d’avantage des données tirés de la centrale des comptes bancaires alimentée chaque trimestre par les société de crédit avec des informations qualitatives sur les clients et leurs comptes bancaires.

Pour les comptes de dépôt et d’épargne, la garantie des dépôts est d’un plafond de 80000 DH pour chaque déposant. Du même, la base de donnée installée par l’institution permettra d’évaluer son potentiel d’intervention à travers un exercice périodique de simulation en cas de liquidation d’un organisme de crédit.

Simultanément, La SGFG garde toujours un œil sur l’attitude des dépôts au plan national. C’est ainsi qu’à présent, 93% des déposants leur compte bancaire affiche un total inférieure à 80000 DH. Cependant, cette partie de déposants ne représente que 14% de la somme globale de dépôts pour le système bancaire.

Relativement aux ressources du fonds de garantie des dépôts, ses dernières remontent à 17,7 milliards de DH engrangés chez les établissements de crédits, vers la fin du mois de juin 2017. Tout de même s’y ajoutent les 4,1 milliards de DH provenant des réserves. Par conséquent, ces ressources forment 2,05% des dépôts bancaires.  

 

31 octobre 2017 par Hajar Najih

La gestion de trésorerie pour les banques participatives

gestion-de-tresorerie-action-firstLes 16-17 novembre prochain à la ville économique marocaine, Casablanca, une formation sur la gestion de trésorerie dédiée aux banques participative sera animée par le directeur des activités trading et d’investissements du qatari Barwa Bank, Mehdi Boulfoul.

Cette formation mettra en lumière l’approche transversale de la totalité des produits offrent par les départements de la trésorerie des banques participatives ainsi que les aléatoires que rencontrent le placement de liquidités et de levées de fonds avec les marchés interbancaires ou internationaux.

Notons que la formation prévue est organisée par Al Maali Institute en partenariat avec la filiale de la banque islamique de développement, The islamic research and training institue, IRT. Elle portera également sur quatre parties principales. Primo, le lancement d’une étude approfondie sur toutes les solutions de placement de liquidité. Ensuite, les regards seront tournés vers le spectre des fondements de financement couvert par la complexité croissante. Dans un troisième point, l’étude s’orientera vers un cas concret à base des états financiers d’une institution locale. Et pour finir, la dernière partie de cette formation sera axée sur le rôle clé de la Banque centrale via les juridictions afin de soutenir le travail de gestion de liquidité des sociétés participatives sur le plan géographique.

 

30 octobre 2017 par Hajar Najih    

Salafin : le résultat net semestriel en progression

salafin600Les encours de crédit de la filiale de BMCE Bank of Africa, Salafin, ont remonté à 2,4%, soit 2,47 milliards de dirhams pour le premier semestre de l’année en cours.

La société de crédit Salafin a enregistré une hausse de 2,1% avec un produit net bancaire de 185 millions de dirhams. Selon Salafin, cette progression revient essentiellement au développement assuré de la marge d’intérêt avec un pourcentage de 6% ainsi que de la marge sur commissions avec 6,6%. De plus de la croissance de la charge de refinancement avec une baisse de 6,5%.

Ajoutons ainsi la régression des charges générales d’exploitation avec 50 millions de dirhams, soit 7,1%. Le premier semestre 2017, a enregistré une hausse de 270 points de base à 27,1% pour le paramètre d’exploitation.

Par rapport à l’année de 2016, le résultat brut passe à 138,5 millions de dirhams (5,7%). En revanche, les revenus aux provisions  affichent une somme nette de 27 millions de dirhams, soit une montée de 21% à cause de la chute des créances en souffrance. La société de financement Salafin indique que les efforts de recouvrement utilisés ont facilité le maintient de la dégradation du portefeuille impayé. Outre, le résultat net s’élève à 71 millions de dirhams (3,6%). La rentabilité financière des fonds propres du premier semestre remonte à 24,7% avec un return on equity (ROE). La caution de la solidité financière de la filiale de BMCE BoA, le rapport de solvabilité, reste stable de près de 18,7% face à 19% pour le premier semestre de l’année dernière.  

 

30 octobre 2017 par Hajar Najih

Crédit Agricole : le renforcement de la contribution de la banque de financement et d’investissement

Credit-AgricoleLe Groupe Crédit agricole du Maroc a l’ambition de consolider le partenariat de la banque de financement et d’investissement (BFI) au produit net bancaire à 30% dans l’année de 2021.

Au cœur de cette stratégie de développement on trouve les activités de marché et pour l’international il y a la filiale MSIN pour l’intermédiation boursière et Maroget pour l’Asset management sans manqué ainsi la banque d’affaires spécialisée dans l’agrobusiness, Holdagro.

En outre, la raison pour laquelle les banques commencent à créer d’autres sources de revenus revient principalement à l’étranglement de la marge d’intermédiation.

Dans le cadre de cette stratégie, le Groupe Crédit Agricole avait lancé un recrutement de masse pour l’amélioration de la technicité métier et la force commerciale comme le confie Mohmed Fakhreddine, directeur de la banque de financement et d’investissement.

Sur les activités de BFI, le Crédit Agricole somme d’une part de marché de 9%. Ses revenus sur les opérations de marché ont enregistrés pour l’année de 2016 une somme de 866 millions de DH. Cependant, le premier semestre 2017 a été marqué par une chute de 57% soit 211 millions de DH pour les résultats des activités de marché. M. Fakhreddine indique également que les revenus récurrents ont été marqués par une hausse contre le premier semestre 2016.

 

27 octobre 2017 par Hajar Najih

BMCE Bank of Africa gagne le prix « Elu Service Client de l’Année Maroc »

bmceBankofAfricaLa banque marocaine, BMCE Bank of Africa, a été couronnée jeudi par le titre « Élu Service Client de l’Année Maroc » lors d’un concours, organisé pour la premier fois au Maroc, en Afrique et le monde arabe, dans la section « Banque ».

Cette distinction vient à la suite d’une série d’enquêtes « client-mystère » épandues sur une période de trois mois. Cette étude se base en fait sur l’approche multicanale du service client qu’adopte la banque. Citons les visites physiques de la clientèle au sein des agences, les appels téléphoniques, les e mails ou formulaires et bien aussi les navigations sur le site de la banque.

Le fort engagement de BMCE Bank of Africa à l’égard de ses clients, se traduit par sa grande détermination de favoriser la qualité de service avec la mise en service d’un dispositif dédié principalement à l’écoute client pour garantir une meilleure communication. Ajoutons également que l’analyse et le traitement des réclamations jouent aussi un grand rôle dans l’amélioration de la qualité du service client.

Et pour veiller sur le bon fonctionnement de ce dispositif, plusieurs outils ont été installés par la société afin de surveiller au quotidien les baromètres de satisfaction des clients et des clients-mystère durant toute l’année et sur l’ensemble national.

 

27 octobre 2017 par Hajar Najih