A présent, le monde évolue à une vitesse extravagante et le secteur bancaire semble être encore plus touché par cette évolution. Par conséquent, Les chefs d’agences bancaires se trouvent quotidiennement soumis à la pression et au stress.

Le prestigieux métier du chef d’agence bancaire est devenu aujourd’hui une source de stress. Le malaise et le sentiment de découragement hantent le secteur. D’ailleurs, les origines de cette pression sont multiples mais la raison la plus principale est celle de l’atteinte des objectifs commerciaux dans un domaine marqué par la forte concurrence, où en fait la clientèle devient de plus en plus exigeante.

Dans une autre part, on a la digitalisation qui intensifie encore plus cette pression. Désormais et avec un seul clic, le client peut effectuer toutes opérations bancaires classiques à distance, la chose qui n’est pas en faveur des agences où leurs chances de le séduire par de nouveaux offres restent limitées.

Notons qu’actuellement les rôles sont à l’inverse. En effet, c’est à la banque de faire le premier pas vers le client, les offres restent multiples sur le marché mais le défi majeur est de se démarquer des autres.

Pour ce faire, les banques ont l’obligation de changer de stratégie de développement ainsi que de se servir de tout leur personnel afin de parvenir à décrocher les objectifs fixés.

27 octobre 2017 par Hajar Najih

L’hebdomadaire international Jeune Afrique a publié cette semaine, lors d’un numéro spécial hors-série dédié à la finance africaine, le classement des banques nord-africaines. Le Groupe bancaire marocain Attijariwafa Bank a été en tête de ce classement.

Le classement officiel du Groupe Attijariwafa Bank au niveau du continent est le 6^ème, à présent ce dernier a pu dénicher avec mérite la 1^ère place sur la région d’Afrique du nord en dépassant ainsi deux autres banques égyptiennes.

D’après l’hebdomadaire, le Groupe bancaire marocain bénéficie, depuis novembre de l’an dernier, de l’accord égyptien de laisser passer la monnaie nationale, ce qui a résulté une dévaluation de 48% face au dollar. En fait, on trouve que toutes les banques marocaines se servent de la régression de l’économie égyptienne.

Cette même source a confirmé aussi la présence de deux autres banques marocaines sur le podium. Citons, la banque centrale populaire (BCP) en se plaçant 3^ème sur le plan régional et BMCE Bank of Africa classée 4^ème.

Grosso modo, ce classement compte en lui neuf différentes banques marocaines, qui représentent en effet l’équivalent de 33% de la somme active amassée face à 35% pour l’Egypte, 20% pour la consœur algérienne et la Tunisie avec ses 7%.

En outre, ce triomphe s’explique effectivement par le fait que seules les banques marocaines ont tourné leurs stratégies de développement vers l’étranger. A titre d’exemple, l’achat de Barclays Bank Egypt par le Group Attijariwafa Bank et la finalisation de la BIA Niger par la BCP. Notons ainsi que près d’un quart du portefeuille des crédits est tiré des autres pays africains.  

26 octobre 2017 par Hajar Najih

Une troisième étude a été mené par l’observatoire Wafasalaf visant l’analyse et l’étude du marché des véhicules d’occasion (VO) au sein du siège de Wafasalaf en présence de la présidente du directoire, Laila Mamou ainsi que des spécialistes dans le domaine.

En effet, la dominance du marché des VO sur celui du neuf est assez écrasante. Mais d’une autre part, ce dernier est encore immergé dans l’informel et la légalisation de ce marché nécessitera plus de temps encore.

Les résultats de cette étude ont indiqué qu’environ 52% des Marocains optent pour l’option « particulier à particulier ». Du fait que, l’achat par cette voie est moins cher que celui par un intermédiaire. La deuxième place a été remportée par les sites internet avec 29%, les courtiers sont de 23%, les garages avec 20% et puis en dernier on a les concessionnaires avec ses 3%.

Cependant, les grands éléments sur quoi repose l’achat d’un VO sont le prix, la marque et l’état général de la voiture. Pour le financement, l’enquête a révélé qu’une grande partie penche vers l’autofinancement, alors que 11% seulement choisissent l’achat partiellement par crédit et 4% sont pour le crédit total. En fait, les crédits automobiles ont enregistré une baisse pour l’année de 2017 avec 10% des ménages face à 12% en 2016.

26 octobre 2017 par Hajar Najih

Sur le total de huit banques participatives, obtenant déjà l’accord de Bank Al-Maghrib pour le lancement de leurs activités, cinq seulement sont actives sur le marché marocain. Marquons qu’à présent une quarantaine d’agences bancaires sont à la disposition des clients dans les grandes villes. Seulement que ses sociétés participatives se limitent actuellement sur les services bancaires classiques (compte bancaire, moyens de paiement…). Alors que le produit phare de ses établissements, le financement Mourabaha immobilière, trouve encore des difficultés à tracer sa voie dans le marché.

Néanmoins, le vœu majeur de ses établissements est de toucher la large clientèle en proposant une suite de produits répondant à leurs besoins. Mais pour atteindre cet objectif il faut tout d’abord compléter le cadre réglementaire et l’écosystème du domaine participatif, la chose qui demandera quelques mois encore.

D’ici la fin de l’année, le secteur participatif s’enrichira également par de nouvelles agences opérationnelles sur le plan national. Ajoutons que vers la fin de l’année le secteur participative attestera à l’ouverture de deux nouvelles fenêtres, Arreda, de Crédit du Maroc, avec deux agences et BMCI avec sa filiale participative, BMCI Najmah, avec une dizaine d’agences. De sa part, BMCE BoA sera la dernière à rejoindre l’équipe avec une filiale née à travers un partenariat avec le groupe Al Baraka.

25 octobre 2017 par Hajar Najih

Après son pack « CODE 30 », le compte gratuit à vie pour les moins de 30 ans, CIH Bank élargit sa gamme de produit et lance son nouveau offre « CODE 18 ».

Le « CODE 18 » est une nouvelle offre bancaire destinée aux jeunes marocains de moins de 18 ans, qu’il soit au Royaume ou à l’étranger. Ces derniers peuvent désormais bénéficier d’un compte d’épargne gratuit à vie ainsi qu’une carte bancaire dont ils auront droit à personnaliser l’apparence. Ce pack de produit, le premier de son genre sur le marché marocain, entre dans le cadre d’une stratégie de développement de la base clientèle de la banque ainsi que de la fidélisation de ses clients dès le plus jeune âge.

Notons ainsi que l’activation d’un compte « CODE 18 » nécessitera la présence du tuteur légal du mineur auprès de l’une des agences du réseau CIH Bank. Par ailleurs, les jeunes clients auront droit à des retraits à hauteur de 500 DH par jour, ajoutons que ce plafond peut être modifié gratuitement par le tuteur. Toutefois, le jeune client pourra bénéficier du service à distance offert par le site de la banque CIH Online ainsi que l’application mobile CIH Mobile afin de consulter le solde se leur compte et suivre les opérations effectuées.

25 octobre 2017 par Hajar Najih