BMCE BoA a signé une convention de partenariat avec la Chambre française d’Industrie et de Commerce du Maroc (CFCIM) à Lâayoune-Sakia El Hamra pour une coopération triangulaire Maroc-Afrique-Europe. cette partenariat vise le soutient et l’accompagnement des entreprises, vu la forte compétitivité dont elles font face (innovation, qualité, R&D, etc) ainsi que le grand rôle qu’elles jouent pour le développement de l’économie nationale.

Cette coopération tourne autour trois axes principaux. En premier, l’accompagnement des entreprises de la CFCIM, puis la participation à des séminaires et des rencontres BtoB et enfin la réception des entreprises étrangères proposées par la CFCIM et les assister dans leurs démarches dans le Maroc et plus de 20 autres pays africains. Au profil de cet accord, la CFCIM annonce que des vingtaines d’entreprises exportatrices bénéficieront également d’une mission en Afrique subsaharienne afin de les permettre à découvrir le marché régional.

Dans son discours d’ouverture pour la cérémonie de signature, le wali de la région de Lâayoune Sakia-Al Hamra, M. Yahdih Bouchab, a met en valeur les avantages économiques et géographique de la région. Ce dernier a annoncé aussi qu’un grand colloque sera organisé avec la DGI pour rappeler aux investisseurs les mesures du cadre fiscale et des initiatives de l’Etat dans le but de promouvoir l’investissement.  

24 octobre 2017 par Hajar Najih

La première banque participative à ouvrir les portes au Maroc, la première à avoir lancée une banque digitale dans le secteur, maintenant Umnia Bank, la banque islamique de CIH Bank, CDG et QIIB, vient de faire savoir qu’elle est la première société participative à avoir signée un financement par Mourabaha immobilière.

En adoptant un tel rythme accéléré, la filiale de CIH Bank semble alarmée d’user la machine. Notons qu’à présent des dizaines de requêtes de financement ont été déjà étudiées et validées. Pour le financement conventionnel le traitement des demandes prend plus de temps vu les nombreuses procédures de documents à signer.

 Ce mécanisme fonctionne, en fait, en parallèle avec d’autres acteurs, à savoir la conservation foncière, la Direction générale des impôts ainsi que les notaires. Toute une équipe d’expert pour l’authentification des actes présentés lors de la première transaction pour l’achat du bien par la banque ainsi que pour la deuxième celle relative à la revente du bien au client. Par ailleurs, on constate qu’en effet la banque porte une grande attention à la conformité de ses opérations.

Pour sa modalité d’accomplissement de l’achat du bien par la banque, Umnia Bank se tient à transférer la propriété dès la signature de l’acte de la transaction. Pour ce faire, l’établissement a instauré des garde-fous pour son système d’information où la deuxième transaction ne peut être enregistrée si la première n’est pas réalisée.     

24 octobre 2017 par Hajar Najih

Les résultats semestriels des banques marocaines ont été marqués par une montée des bénéfices de 8%. Elles ont toutes, à l’exception du CIH, affiché une progression remarquable dans leurs résultats.

Par ailleurs, le PNB global a enregistré une hausse de 2%. Pour l’année de 2016, le résultat net des neufs banques marocaines a été de 12,2 MMDH, soit une hausse de 6%. Le ratio de solvabilité moyen a affiché une augmentation de 14,2% pour un ratio de fonds propres de base de 11,5%. De plus, le ROA a resté à ses 0,8% pour un ROE de 9,8% (-10 pbs). A la fin, on trouve le niveau du risque avec 7,6% face à 7,4% vers l’année de 2015, pour un taux de couverture de 69%. Par surcroît, les trois grandes banques du Maroc se sont bien placées sur le plan international. Pour le premier semestre 2017, Attijariwafa Bank a noté 26,7% du RNPG, la BCP est de 8,2% tandis que BMCE BOA est de 41%.

Le jugement des perspectives des banques concerne aussi les banques participatives qui pourront faire face à une forte concurrence de la part des banques étrangères. C’est ainsi qu’Umnia Bank, filiale à 40% de la banque QIIB, et Al Baraka Bank chercheront à nier les pronostics qui ne garantirent pas à cette partie de la finance plus de 10% de la part de marché.  

23 octobre 2017 par Hajar Najih

Après l’ouverture de son premier centre « Dar Al Moukawil » à Aït Melloul juillet dernier, le Groupe Attijariwafa Bank a annoncé ce vendredi le lancement d’un nouveau centre à Tanger. Ce projet lancé par Attijariwafa Bank  vise l’accompagnement et le soutien des très petites entreprises (TPE) et le renforcement de son dispositif internet « daralmoukawil.com ».

L’ambition majeure de la banque, en fait, est de fournir à ses entrepreneurs l’expertise et le conseil dont ils auront besoin lors du lancement de leurs entreprises, les accompagnés durant le développement de leurs projets, leurs donnés accès aux marchés économiques ainsi que l’activation des mécanismes de l’État dévoués au soutien des TPE.

Tenant en compte le grand rôle que jouent ses structures sur le marché du travail, Attijariwafa Bank a tenu d’offrir à ses clients des facilités de financement et une gamme de produit conforme à leurs attentes.

Les centres « Dar Al moukawil » sont équipés par plusieurs espaces offrant chaque jour des formations et des séminaires thématiques. Vu que le digital est devenu une nécessité à l’ère actuelle, le centre offre également un espace technologique avec des machines de libre-service bancaire et de bornes interactives.

Cette initiative prise par le Groupe Attijariwafa Bank entre dans le cadre d’un programme de développement visant ainsi à s’étendre sur l’ensemble du Royaume.  

23 octobre 2017 par Hajar Najih

Les banques participatives gagnent de plus en plus de terrain dans le secteur bancaire marocain, et à présent Umnia Bank, la filiale du CIH Bank, et Bank Assafa, d’Attijariwafa Bank, se révèlent en tant que les banques les plus actives sur le marché de la Mourabaha au Maroc. Marquons ainsi que la Mourabaha reste le produit phare des banques islamiques sur lequel ces derniers comptent pour attirer la clientèle et la fidéliser.

Néanmoins, les autres banques à l’exemple d’Al Akhdar Bank  choisissent d’attendre l’activation de l’assurance islamique avant le lancement de leur offre. Pour la simple raison d’éviter tout risque qui peut nuire au client, comme le confirme M. Youssed Baghdadi, le président du directoire de Bank Assafa.

En plus de la forme religieuse, les banques participatives proposent un lot de produits bien riche et en mesure de répondre aux différentes exigences des clients avec des tarifs à la moyenne du marché.

Rappel aux clients désireux de prendre un logement à travers le crédit immobilier participatif, la Mourabaha, l’adoption d’une assurance islamique reste indispensable. Toutefois, la concurrence entre les deux parties, banque classique ou islamique, ne s’arrêtera pas seulement sur la tarification mais comprendra aussi la garantie du traitement du rachat avancé ainsi que les impayés.

23 octobre 2017 par Hajar Najih