Conformément aux statistiques publiées par la Banque centrale les deux grandes villes du Maroc, Casablanca et Rabat, s’emparent sur plus de la moitié des dépôts assemblés par les banques, qui se relèvent à 845,5 milliards de dirhams, durant l’année précédente. Cette primauté est ainsi plus incontestable pour les prêts. Plus de 629 milliards de dirhams, l’égale de 78% de la somme globale des crédits ont été fournis à ses deux villes.

En fait, on constate que la concentration des richesses sur l’axe Casa-Rabat est assez marquante. Pour la capitale économique seule on compte environ 1.536 guichets bancaires. Cette dominance a été marquée aussi au niveau des dépôts bancaires. Vers la fin de l’année de 2016, la ville de Casablanca a enregistré plus de 313 milliards de dirhams de dépôts.

 Passons ainsi à la capitale du Royaume où les dépôts dépassent déjà les 121,7 milliards de dirhams, soit 14,22% de la somme globale du pays.

Quant aux crédits, la ville blanche s’empare de la plus grosse part avec un montant de plus de 508,9 milliards de dirhams de prêts accordés à la population casablancaise. Dépassons ainsi la ville de Rabat où le totale des crédits distribués est de 120,3 milliards de dirhams.

C’est ainsi que la suprématie des deux villes reste irréprochable sur le plan national.

 

13 octobre 2017 par Hajar Najih

La conférence annuelle « Rencontre One-on-One » organisée par le groupe CFG Bank a été tenu pour sa nouvelle édition 2017 à la ville ocre Marrakech. Une rencontre qui a visé par principe la mise en valeur des différentes potentialités du Maroc aux investisseurs étrangers.

Selon CFG Bank l’organisation de ce genre de meeting offre aux investisseurs marocains et étrangers la chance de bénéficier d’une interactivité direct et avec plus de détail.

Notons que CFG Bank jouit également d’une grande confiance de la part des investisseurs étrangers la chose qui lui a permit de créer une zone de rencontre entre investisseurs et émetteurs.

Par ailleurs, on trouve que la conférence de 2017 favorise essentiellement le marché Actions suite à une série de facteurs. D’abord, l’augmentation des indicateurs économiques (crédits à l’économie, consommation d’électricité, nombre des touristes, la production des industries manufacturières,…). Puis le relèvement des relations avec la Zone Euro remettra à l’économie marocaine sans équilibre. Ajoutant aussi l’extensibilité de la politique budgétaire.

Mais en réalité, c’est le maintient du faible niveau des taux qui alimentera l’indemnité d’actifs au bénéfice du marché actions comme l’atteste les grandes bourses mondiales.

 

12 octobre 2017 par Hajar Najih

 

BMCE Bank Maroc instaure un nouveau système dédié aux jeunes entrepreneurs, qui prend en charge leur accompagnement du lancement de projet jusqu’à la création de l’entreprise et le développement de l’activité.

En effet, le groupe a choisi cette année d’enrichir cette initiative par un pack commercial sans précédent. D’abords une gratuité totale pour la première année, puis les services bancaires et les frais de dossiers concernant les crédits de financement des entreprises sont entièrement offerts par la banque. Cette action d’accompagnement n’est pas la première de son genre puisque de nombreuses initiatives ont pu voir le jour grâce à un cycle de formation baptisé « le Club de l’Entreprenariat » établi sous le cadre de la collaboration avec l’Observatoire De l’Entreprenariat et la Société Financière Internationale (SFI). Notant que ce cycle a marqué un grand taux de participation d’entrepreneurs, 80% TPE et 20% pour les Professions Libérales.

Entre autres, cette initiative d’accompagnement met à la disposition des jeunes entrepreneurs un programme tangible et solide qui se traduit à travers les études et analyses réalisées par l’Observatoire De l’Entreprenariat et le Centre d’Intelligence Économique, l’organisation de diverses conférences de sensibilisation traitant les sujets de l’entreprenariat sur le plan national et la disposition d’un groupe expert en matière des ennuies qu’un entrepreneur peut endurer.

 

12 octobre 2017 par Hajar Najih

 

C’est en mercredi 11 octobre que la Société Générale Maroc dévoile son projet de pack de produits et services de finance participative sous la bannière «Dar Al Amane» au grand publique. Rappelant, que l’accord final de Bank Al-Maghrib sur cette nouvelle fenêtre participative au Maroc a été obtenu le mois de mai dernier.  

A présent, la Société Générale dispose de quatre agences sur le plan national : Casablanca Sidi Bernoussi, Casablanca El Mechouar, Marrakech et la ville d’Agadir. Cette nouvelle plate-forme verra prochainement l’ouverture d’autres agences sur plusieurs villes du Royaume.

Entre autres, les services proposés par Dar Al Amane seront destinés principalement pour satisfaire les besoins de la large clientèle de la banque. Comptant les services courants de la banque, l’activation du service digitale et la proposition d’une palette de produits de placement et des offres de financement et d’investissement en accord avec le financement participatif.

Bref, l’initiative de Dar Al Amane se base sur quatre piliers principaux : des ressources humaines compétentes, l’appropriation de 100% avec la Sharia, un pilotage autonome de l’activité bancaire classique et une hermétique totale du système d’information.

En effet, Dar Al Amane a choisi d’ouvrir ses portes le 12 septembre dernier sans aucune promotion médiatique en mettant d’abord le projet en teste. Aujourd’hui, le groupe a de grandes espérances pour cette nouvelle fenêtre et compte à présent d’atteindre plus de vingt agences d’ici 2018.

 

11 octobre 2017 par Hajar Najih

 

 

 

Le premier semestre 2017 notent une importante croissance à deux chiffres pour les revenus de commissions. Cette progression des commissions remarquées pour ce semestre permettra aux banques marocaines de corriger la chute des résultats sur leur activité de crédit, la marge d’intermédiation. A partir de 2014, les banques voulant garder leurs bénéfices sur le crédit ont été obligées de sacrifier 90 points de base annuellement sur les taux calculés aux clients. En effet, le choix établi par les établissements bancaires sur les commissions au lieu des activités de marché revient essentiellement sur la stabilité de ces derniers alors que le second tend vers une évolution irrégulière. L’augment de 30% sur les tarifs aux particuliers a été appliqué par la majorité des banques marocaines sur les deux années précédentes. Une pratique qui n’épargne guère les Entreprises et les Professionnels. Néanmoins, les hausses imposées par les banques doivent se maintenir dans la limite du raisonnable de façon à ne pas perdre la clientèle. Pas ailleurs, on constate que ses établissements ont la possibilité d’adopter d’autres mesures pour augmenter leurs marges sur commissions. Le renforcement de la base de clients et l’enrichissement du taux d’équipement de la clientèle font également partie de ses mesures. 06 octobre 2017